Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Bibliothèque Municipale de Bavay
17 mars 2014

acquisition 2014

13 jours
13 jours pour résoudre un meurtre. 13 jours pour tout remettre en question. 13 jours avant de plonger dans les ténèbres.
Trois garçons sont kidnappés dans le bois proche de Hoh River à Seattle. L un d entre eux ne reviendra pas et le mystère de sa mort a bouleversé bien des existences. Un quart de siècle plus tard, avant Noël, un couple et ses deux enfants sont sauvagement assassinés. Au-dessus de leur porte, le meurtrier a laissé une inscription : 13 jours. Le temps qu il donne à l inspecteur de la brigade criminelle Alice Madison pour comprendre son message et jouer son rôle... Enfant, Alice s est enfuie de sa maison, à deux doigts de commettre un acte impardonnable. Elle a fini par trouver son équilibre en se lançant aux trousses de ce que l humanité a de pire à offrir. Elle est convaincue que ces meurtres sont liés à celui du passé. Elle a 13 jours pour le prouver. Le 13e jour, à 3 heures du matin, là où l enfant avait perdu la vie, justice sera enfin rendue.

 

Témoin des morts
À 29 ans, Judith Kepler est une jeune femme taciturne et solitaire. Après des années d’errance, cette orpheline a décidé de mettre son caractère bien trempé au profit d’un métier hors du commun : nettoyeuse de maisons dans lesquelles une personne est décédée. Scènes de crime, scènes ordinaires de décès, elle a tout vu. Un jour, Judith est appelée au domicile d’une jeune femme assassinée, Christina Borg, et découvre des documents qu’elle croyait disparus : son dossier d’admission dans un orphelinat de RDA dans les années 1980. Pourquoi cette femme possède-t-elle ces fichiers ? Aurait-ce un lien avec le meurtre ? Dévorée par la curiosité, Judith contacte un ancien agent des services de renseignement d’Allemagne de l’Ouest, Quirin Kaiserley, dont elle a trouvé le nom chez Christina. Ensemble, Quirin et Judith entament une enquête à hauts risques pour retracer l’histoire familiale de la jeune fille, intimement liée à celle de son pays. Et découvrir que les blessures de la guerre froide ne sont pas encore refermées…

 

Iris Baudry est photographe de l'identité judiciaire. Disponible nuit et jour,
elle est appelée sur des scènes de crime pour immortaliser les corps martyrisés
des victimes. Iris est discrète, obsessionnelle, déterminée. Elle shoote en
rafales des cadavres pour oublier celui de son fils, sauvagement assassiné onze
ans auparavant. Mais une nouvelle affaire va la ramener au coeur de son
cauchemar : dans cette ville maudite où son fils a disparu, là où son
croque-mitaine de mère garde quelques hideux secrets enfouis dans sa démence, là
ou sévit un tueur en série dont la façon d'écorcher ses victimes en rappelle une
autre. La canicule assèche la ville, détrempe les corps et échauffe les esprits,
les monstres se révèlent et le brasier qu'Iris croyait éteint va s'enflammer à
nouveau dans l'objectif de son reflex.

 

 

Les enquêtes de M. de Mortagne, bourreau : Le tour d'abandon

Début du XIVe siècle. Bel homme cultivé et fort riche, Hardouin cadet-Venelle,
bourreau, n'a jamais porté sa charge comme un fardeau jusqu'à ce qu'il sangle
sur le brasier Marie de Salvin, une innocente. Une quête l'anime depuis : faire
vraie justice. Persuadé de l'innocence de Mahaut de Vigonrin, accusée d'avoir
empoisonné son beau-père et son mari, il veut tout tenter pour la sauver du
bûcher. Mais la destinée de Mahaut est entre les mains du bailli, Louis d'Avre,
fraîchement nommé dans cette seigneurie bretonne, alors que la grogne monte dans
le royaume après le renchérissement de la monnaie royale.
Pire : d'étranges
méfaits surviennent. Des enfants confiés aux tours d'abandon de la ville
disparaissent, deux jeunes femmes sont assassinées et un garçonnet est tué en
pleine forêt... Louis d'Avre demande l'aide d'Hardouin. Certain que justice ne
sera rendue à l'identique à deux servantes trépassées et à la maîtresse
installée d'un noble jouissant de puissantes protections sauf s'il s'en mêle, il
accepte. M. Justice de Mortagne ne reculera devant rien, ni la férocité, ni la
ruse, ni l'amour, ignorant que le plus blessant des trois n'est pas celui qu'il
croit.

Andréa H. Japp, reine du roman policier et historique, est
l'auteur de nombreux best-sellers. Le Tour d'abandon est le troisième opus de sa
série médiévale Les Enquêtes de M. de Mortagne, bourreau

 

L'intrépide
Dans sa charmante propriété viticole de Marson, Marceline vient de donner vie à son premier enfant. Epouse choyée, belle-fille protégée, elle est heureuse. Mais des événements inattendus bousculent son existence. La guerre est déclarée à la Prusse. Son époux qu'elle aime se rend à Paris, attiré par la Commune qui gronde. Son beau-père qui dirige la propriété de main de maître n'a plus le goût de vivre et Marceline se retrouve désormais à la tête du domaine. Inexpérimentée et orgueilleuse, elle lutte seule pour préserver l'exploitation des viles attaques de la concurrence. Il lui faut s'imposer, décider, convaincre. Même si, à court d'argent, elle doit bientôt vendre tout le mobilier du château, rien ne l'abat. Mais un combat plus terrible encore l'attend car un danger pèse sur les siens. Pour sauver ceux qu'elle aime, la voici emportée dans un tourbillon où les hommes trahissent et s'entre-tuent. Cependant, l'intrépide jeune femme ira jusqu'au bout de ses forces, quitte à payer le prix fort.

 

 

 

 

En finir avec Eddy Bellegueule 

Edouard Louis

 

"Je suis parti en courant, tout à coup. Juste le temps d'entendre ma mère dire Qu'est-ce qui fait le débile là ? Je ne voulais pas rester à leur côté, je refusais de partager ce moment avec eux. J'étais déjà loin, je n'appartenais plus à leur monde désormais, la lettre le disait. Je suis allé dans les champs et j'ai marché une bonne partie de la nuit, la fraîcheur du Nord, les chemins de terre, l'odeur de colza, très forte à ce moment de l'année. Toute la nuit fut consacrée à l'élaboration de ma nouvelle vie loin d'ici". En vérité, l'insurrection contre mes parents, contre la pauvreté, contre ma classe sociale, son racisme, sa violence, ses habitudes, n'a été que seconde. Car avant de m'insurger contre le monde de mon enfance, c'est le monde de mon enfance qui s'est insurgé contre moi. Très vite j'ai été pour ma famille et les autres une source de honte, et même de dégoût. Je n'ai pas eu d'autre choix que de prendre la fuite. Ce livre est une tentative pour comprendre.

 

 

 

 

« Mémé, c'est ma mémé, même si ça ne se dit plus.
Mémé me manque. Ses
silences, ses mots simples au Scrabble, sa maison enfouie sous les pommiers et
son buffet d'avant-guerre. Ce texte est subjectif, partial, amoureux, ce n'est
pas une enquête, ce n'est pas une biographie, c'est ce que j'ai vu, compris ou
pas, ce que j'ai perdu et voulu retenir, une dernière fois. Mémé, c'est mon
regard de gamin qui ne veut pas passer à autre chose. »
Voici le portrait
qu'à plus de quarante ans Philippe Torreton fait de celle qui fut le personnage
central de son enfance, un portrait tendre et nostalgique, construit par petites
touches comme la mémoire, où chacun retrouvera sa grand-mère ou celle dont il a
rêvé.

 

 

L'Eté des lucioles 
" J’ai deux mamans et un papa qui ne veut pas grandir. " Ainsi commence l’histoire de Victor, qui vient d’arriver dans la villégiature familiale du Cap-Martin. Cet été caniculaire s’annonce sous le signe de l’étrange avec une invasion de lucioles, des pluies sèches et des orages aussi soudains que violents. Du haut de ses neuf ans, Victor a quelques certitudes. C’est parce que François n’ouvre pas son courrier qui s’amoncelle dans un placard que ses parents ne vivent plus ensemble. C’est parce que Claire et Pilar adorent regarder des mélos tout en mangeant du pop-corn qu’elles sont heureuses ensemble. Et c’est parce que les adultes n’aiment pas descendre les poubelles au local peint en vert qu’il a rencontré son meilleur ami Gaspard. Pourtant, de nombreuses questions restent sans réponse. Pourquoi François refuse-t-il de grandir ? Pourquoi Alicia, son aînée, fugue-t-elle sans arrêt ? Qui était Félicité, la sœur de son père dont on ne parle jamais ? Sur l’étroit chemin des douaniers qui surplombe la côte et relie Cap-Martin à Monaco, Victor rencontrera deux jumeaux, Tom et Nathan, qui lui ouvriront les portes d’un monde imaginaire et feront émerger des secrets de famille trop longtemps ensevelis. Gilles Paris brosse les portraits de personnages attachants – une ado nonchalante, une maman libraire, un père-enfant – et décrit avec tendresse l’univers poétique du petit Victor. Un roman d’apprentissage sensible et drôle.

 

 

Théorie de la vilaine petite fille 

Hubert Haddad

 

« Mister Splitfoot, si tu y es, frappe deux fois ! » Qui se souvient de l'incroyable destin des soeurs Fox, ces deux fillettes de l'Amérique puritaine qui, par une nuit de mars 1848, en réponse aux bruits répétés qui secouent leur vieille ferme, inventent le spiritisme comme on joue à cache-cache ? Kate, d'abord, sorte d'elfe à la fois espiègle et grave, pleine de fantaisie et de mystère, Margaret, fascinée par la médiumnité de sa petite soeur, et enfin Leah, de vingt ans leur aînée, qui, avec l'aide d'hommes d'affaires de Rochester et de financiers de Wall Street, rêve de fonder un empire à partir de ce nouveau jeu de société un rien macabre...
Avec Théorie de la vilaine petite fille, Hubert Haddad revisite magistralement, dans un style ample et endiablé, un demi-siècle de la folle Amérique, celle du libéralisme naissant, des sectarismes et de toutes les utopies. Il nous offre un roman facétieux, jubilatoire, émouvant, dont on ressort étourdi et joyeux comme d'une baraque de train-fantôme, avec en tête la ritournelle d'un negro spiritual ou d'un vieux folksong.
 
                                                                         

 

Deux secondes de trop

Rachel Joyce

En 1972, deux secondes furent ajoutées au temps pour compenser le mouvement de rotation de la terre. Deux secondes. Cela semble insignifiant.  Mais pas pour le jeune Byron Hemming fasciné par ce phénomène. Il scrute en vain le cadran de sa montre, en attente de ce moment magique où les aiguilles reculeront de deux secondes. Alors que sa mère le conduit à l'école, il croit que ce moment arrive enfin, le crie à sa mère. Et c'est l'accident... aux innombrables conséquences. Intimement persuadés que les deux secondes supplémentaires sont responsables de ce jour funeste qui a changé sa vie, Byron et James, son meilleur ami, enquêtent pour découvrir ce qui s'est véritablement produit. Mais cette enquête risque de bouleverser encore plus leur destin...   Des personnages attachants, un grand sens de l'observation, des situations poignantes... Un roman tendre et fascinant où l’obsession d’un enfant peut faire voler en éclats le miroir parfait dans lequel une famille aimait à se contempler. Avec cette plongée bouleversante dans une famille de la bourgeoisie anglaise, Rachel Joyce confirme son immense talent de romancière.

 

 

L'art de mourir au loin : chronovélème
Au bord du divorce, un couple de trentenaires lisboètes se livre à un inventaire courtois et méthodique de ses biens. Très vite, Arnaldo et Barbara achoppent sur le sort de leur tortue domestique. Que faire de cet animal qu'ils n'ont même pas baptisé ? Liés par ce noeud gordien absurde, ils poursuivent - en attendant de trouver une solution - un semblant de vie commune ponctué de scènes de ménage aigres-douces... Mais sont-ils sûrs de vouloir se quitter ? Leurs chassés-croisés chez eux, dans les quartiers populaires ou huppés de Lisbonne, et la mélancolie qui les étreint quand ils sont seuls laissent présager un dénouement heureux... Mario de Carvalho profite de cette trame cocasse pour épingler des affects conjugaux dangereusement volatils et nous faire rire d'un certain quotidien urbain petit-bourgeois. Cocktail narratif jubilatoire mixant cinéma, farce et bande dessinée, son "chronovélème" pousse sur le devant de la scène un chélonidé inerte, modeste mais hilarante allégorie de notre condition humaine.

 

 

 

L'incroyable histoire de Wheeler Burden

Selden Edwards

 

Wheeler Burden vit à San Francisco en 1988. Aussi a-t-il peu de raisons de se retrouver, un beau matin, à Vienne en 1897. C’est pourtant ce qui lui arrive, d’une façon totalement inexplicable. Se demandant s’il n’est pas devenu fou, l’idée judicieuse lui vient d’aller consulter un jeune thérapeute viennois qui n’a pas encore découvert le complexe d’Œdipe, Sigmund Freud. Devant la perplexité compréhensible de celui-ci, et en attendant qu’il trouve une réponse satisfaisante à ses questions, Wheeler explore la ville aux richesses innombrables. Vienne est alors à un tournant de son histoire, le maire, Karl Lueger, est le premier dirigeant à s’être fait élire sur des théories antisémites, Mahler révolutionne les règles de la composition, Gustav Klimt et Egon Schiele sont sur le point d'en faire autant avec la peinture, sans parler des philosophes, architectes et écrivains, qui bouleversent le mode de pensée de la vieille Europe. Mais, plus encore que de croiser la route de ces grands noms, Wheeler est enthousiaste à l’idée de retrouver ses grands-parents, qui sont sur le point de se rencontrer dans la capitale autrichienne. Il ne sait pas encore qu’il est sur le point de découvrir un étrange secret de famille. Bien vite, il réalise ce qui est en jeu dans cette curieuse mésaventure : l’incroyable possibilité de changer le destin des siens, et peut-être plus encore, celui de l’humanité toute entière. À quelques kilomètres de Vienne, dans le village de Lambach, vit en effet un petit garçon âgé de 6 ans, nommé Adolf Hitler. Wheeler est, néanmoins, loin de se douter des risques qu’il encourt et des dangers qu’il y a, à vouloir modifier le cours des choses… Avec ce premier roman, salué par une critique unanime, Selden Edwards mêle la littérature, l’Histoire et la vie, et nous entraine dans un labyrinthe fascinant d’aventures et de mystères. Pétillant d'humour et faisant preuve d'une inventivité et d'une intelligence absolument inouïes, sa lecture est l'un de ces grands voyages dont on ne sort pas indemne.

 

 

 

 

 

La petite communiste qui ne souriait jamais
Retraçant le parcours d une fée gymnaste, qui, dans la Roumanie des années 1980 et sous les yeux émerveillés de la planète entière, vint, en son temps, mettre à mal guerres froides, ordinateurs et records, ce roman est le portrait d une enfant, puis d une femme, évadée de la pesanteur, sacralisée par la pureté de ses gestes et une existence intégralement dévolue à la recherche de la perfection. En mettant en exergue les dévoiements du communisme tout autant que la falsification, par les Occidentaux, de ce que fut la vie dans le bloc de l Est, ce récit, lui-même subtilement acrobate, est aussi une passionnante méditation sur l invention et l impitoyable évaluation du corps féminin.
Le Christ selon l'Afrique 
Boréale n'a que vingt ans mais des problèmes à revendre, entre un amoureux infidèle, une patronne dépressive, une tante qui veut lui faire porter son enfant et une mère qui la dénigre constamment. Dans ce quartier populaire de Douala où elle habite, on s'enthousiasme comme on déteste, selon le dernier tribun qui a parlé, et des tribuns il y en a à tous les carrefours, des prophètes surtout qui hypnotisent la foule par leurs prières, leurs transes et leurs promesses mirifiques, attirant chaque jour davantage de croyants. Boréale, elle, ne croit en rien et ne veut obéir à personne. Mais en a-t-elle la liberté ? Dans cette chronique savoureuse de la rue africaine, Calixthe Beyala, Grand Prix de l'Académie française pour Les honneurs perdus, poursuit avec sa verve inimitable une oeuvre littéraire inclassable, célébrée et étudiée dans de nombreux pays.
Née au Cameroun, Calixthe Beyala poursuit une oeuvre littéraire inclassable, traduite et étudiée dans de nombreux pays. Grand prix de l'Académie française en 1996 pour Les honneurs perdus, elle a publié de nombreux romans dont, La plantation en 2005 ou Le roman de Pauline, en 2009. Tous chez Albin Michel.

 

La cuisinière

Aussi haletant qu'un thriller, ce roman retrace le bouleversant destin de Mary
Mallon, surnommée en son temps "la femme la plus dangereuse d'Amérique".
Véritable cas pour la science, elle a permis d'élaborer la théorie du porteur
sain. Immigrée irlandaise arrivée seule à New York à la fin du XIXe siècle, Mary
Mallon travaille comme lingère avant de se découvrir un talent pour la cuisine.
Malheureusement, dans toutes les maisons bourgeoises où elle est employée, les
gens contractent la typhoïde. Mary, quant à elle, ne présente aucun symptôme de
la maladie - au contraire, sa robustesse est presque indécente. Un médecin finit
par s'intéresser à elle, mais la cuisinière refuse de se soumettre à des
examens. Les autorités sanitaires, qui l'estiment dangereuse, l'envoient en
quarantaine sur une île au large de Manhattan. Commence alors pour cette femme
indépendante et insoumise qu'on appelle désormais "Mary Typhoïde" un combat à
armes inégales pour sa liberté.

 

 

La Dame de Roz-Avel

1893, Ouest Bretagne. Gabrielle, la quarantaine, est l’heureuse propriétaire de Roz Avel, l’hôtel-restaurant de la gare, à Landivisiau où son époux est courtier en chevaux. Elle est très liée à Marie, son aînée, dont elle a été la protégée avant de devenir l’amie. Mais le décès de Bart, l’époux de Marie, bouleverse leur vie à tous. Tandis que Jean-Mi remplace, à dix-neuf ans, son père à la tête des commerces de la famille à Penzé, Marie se réfugie dans la religion dont s’éloigne peu à peu Gabrielle. La politique anticléricale du gouvernement Combes à partir de 1902 accroît les motifs de tension entre elles au point que Marie provoque la rupture des fiançailles entre Jean-Mi et Jeanne, la cadette de Gabrielle, qui s’aiment passionnément. Lorsque sa mère lui apprend que Jeanne, à nouveau amoureuse, se marie, Jean-Mi se résigne à une union de convenance. Brouillées, les deux amies trouvent le réconfort près des leurs, mais elles sont si blessées que rien, pas même leurs petits-enfants, ne semble pouvoir les réconcilier. Jusqu’à ce qu’éclate la Grande Guerre qui les réunira, comme toutes les femmes françaises, dans les mêmes espérances et les mêmes chagrins…

 

 

 

L'Orpheline de la forêt Barade

 

  En cette fin de XVIe siècle, les guerres de Religion font rage. Damien est intendant au château de L’Herm dans le Périgord noir, au coeur de la forêt Barade, sillonnée par les chefs de guerre huguenots et catholiques qui pillent, saccagent, massacrent pour s’assurer le contrôle de la province. Le maître du château lui-même est mortellement blessé lors des combats pour reprendre Sarlat aux protestants.    Son unique héritière testamentaire est sa fille, Marguerite, âgée d’à peine cinq ans. Lorsque sa mère se remarie à un puissant seigneur des environs, l’enfant est accordée au fils du nouvel époux, de quinze ans son aîné. Très vite, la petite Marguerite est laissée à la merci de son mari, un homme brutal, qui accumule les dettes de jeux et noue les fils d’une conspiration machiavélique pour s’emparer de ses biens. Une seule personne pourrait encore la sauver : Damien, le vieil intendant, qui l’aime comme sa propre fille…

   Michel Peyramaure s’est inspiré d’événements historiques authentiques pour nous conter le tragique destin d’une enfant pleine de vie et de confiance.

 

 

 

 

 

 

 

  

 

 

 

 

 

 

 

 

Publicité
Commentaires
Publicité
Derniers commentaires
Publicité